La reconnaissance de la marocanité du Sahara par les Etats-Unis marque un tournant dans l’histoire de la région
La décision des Etats-Unis d’Amérique de reconnaître, par une Proclamation signée par son Président, la souveraineté du Maroc sur son Sahara marque un tournant historique dans le différend régional sur le Sahara marocain. Elle constitue l’aboutissement d’un travail de longue haleine, entamé depuis deux ans, et s’inscrit dans le prolongement de l’appui des Etats-Unis à l’Initiative Marocaine d’Autonomie en tant que solution réaliste, crédible, et sérieuse à la Question du Sahara marocain.
Il s’agit d’une décision d’autant plus importante qu’elle émane d’une grande puissance dotée d’un siège permanent au Conseil de Sécurité de l’ONU, qui en fait un garant de l’ordre mondial basé sur le droit international.
La reconnaissance américaine de la marocanité du Sahara marquera un tournant dans le traitement de la Question du Sahara marocain. Elle vient s’ajouter aux efforts importants consentis par les Etats-Unis, en leur qualité de porte-plume de toutes les résolutions du Conseil de Sécurité sur la Question du Sahara marocain, pour parvenir à une solution politique définitive à ce différend régional.
Cette décision juridique est conforme aux arrangements institutionnels propres au Gouvernement américain. Prenant effet immédiatement, elle s’articule autour de quatre axes principaux :
La reconnaissance de la souveraineté marocaine sur l’entière région du Sahara ;
L’appui à l’Initiative marocaine d’Autonomie comme seule et unique solution pour parvenir à une solution juste et durable à la Question du Sahara marocain ;
L’ouverture d’un Consulat général à Dakhla ;
La promotion des investissements dans la région du Sahara marocain.
Conformément à la pratique établis, les Etats-Unis ont communiqué au Secrétaire général de l’ONU et à ses Etats membres leur décision.
Cette décision ne s’est pas faite en contrepartie du rétablissement des relations diplomatiques entre le Maroc et Israël, qui s’inscrit dans l’histoire millénaire de la coexistence pacifique entre les Marocains de confession juive et leurs compatriotes de confession musulmane. Il ne se fait en aucun cas au détriment de la défense par le Maroc de la juste cause palestinienne, comme l’a affirmé Sa Majesté le Roi Mohammed VI lors de Son entretien avec le Président des Etats-Unis.
La tradition millénaire de coexistence pacifique et de tolérance du Maroc, sous la Commanderie des Croyants, a trouvé son illustration la plus puissante dans le refus de Feu Sa Majesté le Roi Mohammed V de livrer aux autorités de Vichy les citoyens marocains de confession juive. En reconnaissance de ce geste historique, Feu Sa Majesté le Roi Mohammed V a été nommé comme Juste parmi les Nations de Yad Vashem.
Sous les Hautes Orientations de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Maroc n’a eu de cesse de promouvoir et de valoriser son héritage hébraïque. C’est ainsi que la Constitution de 2011 reconnaît l’apport de l’affluent hébraïque à l’unité du Maroc.
Sur Hautes Instructions Royales, le Maroc a également engagé un programme de rénovation de ses synagogues et de ses cimetières juifs. L’engagement de Sa Majesté le Roi en faveur de la promotion du patrimoine hébraïque du Royaume s’est également matérialisé par la création du Musée de la Culture juive de Fès, en mai 2019.
La diaspora juive marocaine est la plus importante de tout le monde arabe. Ce sont un million de Juifs marocains qui vivent actuellement en Israël, et qui ont gardé des liens étroits avec leur pays d’origine.
Le rétablissement des relations diplomatiques entre le Maroc et Israël n’est donc qu’une étape naturelle de l’histoire millénaire qui unit les citoyens marocains de confession juive à leurs concitoyens musulmans. Le Maroc mettra à profit ses canaux diplomatiques avec l’Etat d’Israël pour faire avancer un règlement de la question palestinienne sur la base d’une solution à deux Etats, avec Al Qods-Est comme capitale.
La décision des Etats-Unis d’Amérique de reconnaître, par une Proclamation signée par son Président, la souveraineté du Maroc sur son Sahara marque un tournant historique dans le différend régional sur le Sahara marocain. Elle constitue l’aboutissement d’un travail de longue haleine, entamé depuis deux ans, et s’inscrit dans le prolongement de l’appui des Etats-Unis à l’Initiative Marocaine d’Autonomie en tant que solution réaliste, crédible, et sérieuse à la Question du Sahara marocain.
Il s’agit d’une décision d’autant plus importante qu’elle émane d’une grande puissance dotée d’un siège permanent au Conseil de Sécurité de l’ONU, qui en fait un garant de l’ordre mondial basé sur le droit international.
La reconnaissance américaine de la marocanité du Sahara marquera un tournant dans le traitement de la Question du Sahara marocain. Elle vient s’ajouter aux efforts importants consentis par les Etats-Unis, en leur qualité de porte-plume de toutes les résolutions du Conseil de Sécurité sur la Question du Sahara marocain, pour parvenir à une solution politique définitive à ce différend régional.
Cette décision juridique est conforme aux arrangements institutionnels propres au Gouvernement américain. Prenant effet immédiatement, elle s’articule autour de quatre axes principaux :
La reconnaissance de la souveraineté marocaine sur l’entière région du Sahara ;
L’appui à l’Initiative marocaine d’Autonomie comme seule et unique solution pour parvenir à une solution juste et durable à la Question du Sahara marocain ;
L’ouverture d’un Consulat général à Dakhla ;
La promotion des investissements dans la région du Sahara marocain.
Conformément à la pratique établis, les Etats-Unis ont communiqué au Secrétaire général de l’ONU et à ses Etats membres leur décision.
Cette décision ne s’est pas faite en contrepartie du rétablissement des relations diplomatiques entre le Maroc et Israël, qui s’inscrit dans l’histoire millénaire de la coexistence pacifique entre les Marocains de confession juive et leurs compatriotes de confession musulmane. Il ne se fait en aucun cas au détriment de la défense par le Maroc de la juste cause palestinienne, comme l’a affirmé Sa Majesté le Roi Mohammed VI lors de Son entretien avec le Président des Etats-Unis.
La tradition millénaire de coexistence pacifique et de tolérance du Maroc, sous la Commanderie des Croyants, a trouvé son illustration la plus puissante dans le refus de Feu Sa Majesté le Roi Mohammed V de livrer aux autorités de Vichy les citoyens marocains de confession juive. En reconnaissance de ce geste historique, Feu Sa Majesté le Roi Mohammed V a été nommé comme Juste parmi les Nations de Yad Vashem.
Sous les Hautes Orientations de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Maroc n’a eu de cesse de promouvoir et de valoriser son héritage hébraïque. C’est ainsi que la Constitution de 2011 reconnaît l’apport de l’affluent hébraïque à l’unité du Maroc.
Sur Hautes Instructions Royales, le Maroc a également engagé un programme de rénovation de ses synagogues et de ses cimetières juifs. L’engagement de Sa Majesté le Roi en faveur de la promotion du patrimoine hébraïque du Royaume s’est également matérialisé par la création du Musée de la Culture juive de Fès, en mai 2019.
La diaspora juive marocaine est la plus importante de tout le monde arabe. Ce sont un million de Juifs marocains qui vivent actuellement en Israël, et qui ont gardé des liens étroits avec leur pays d’origine.
Le rétablissement des relations diplomatiques entre le Maroc et Israël n’est donc qu’une étape naturelle de l’histoire millénaire qui unit les citoyens marocains de confession juive à leurs concitoyens musulmans. Le Maroc mettra à profit ses canaux diplomatiques avec l’Etat d’Israël pour faire avancer un règlement de la question palestinienne sur la base d’une solution à deux Etats, avec Al Qods-Est comme capitale.
La décision des Etats-Unis d’Amérique de reconnaître, par une Proclamation signée par son Président, la souveraineté du Maroc sur son Sahara marque un tournant historique dans le différend régional sur le Sahara marocain. Elle constitue l’aboutissement d’un travail de longue haleine, entamé depuis deux ans, et s’inscrit dans le prolongement de l’appui des Etats-Unis à l’Initiative Marocaine d’Autonomie en tant que solution réaliste, crédible, et sérieuse à la Question du Sahara marocain.
Il s’agit d’une décision d’autant plus importante qu’elle émane d’une grande puissance dotée d’un siège permanent au Conseil de Sécurité de l’ONU, qui en fait un garant de l’ordre mondial basé sur le droit international.
La reconnaissance américaine de la marocanité du Sahara marquera un tournant dans le traitement de la Question du Sahara marocain. Elle vient s’ajouter aux efforts importants consentis par les Etats-Unis, en leur qualité de porte-plume de toutes les résolutions du Conseil de Sécurité sur la Question du Sahara marocain, pour parvenir à une solution politique définitive à ce différend régional.
Cette décision juridique est conforme aux arrangements institutionnels propres au Gouvernement américain. Prenant effet immédiatement, elle s’articule autour de quatre axes principaux :
La reconnaissance de la souveraineté marocaine sur l’entière région du Sahara ;
L’appui à l’Initiative marocaine d’Autonomie comme seule et unique solution pour parvenir à une solution juste et durable à la Question du Sahara marocain ;
L’ouverture d’un Consulat général à Dakhla ;
La promotion des investissements dans la région du Sahara marocain.
Conformément à la pratique établis, les Etats-Unis ont communiqué au Secrétaire général de l’ONU et à ses Etats membres leur décision.
Cette décision ne s’est pas faite en contrepartie du rétablissement des relations diplomatiques entre le Maroc et Israël, qui s’inscrit dans l’histoire millénaire de la coexistence pacifique entre les Marocains de confession juive et leurs compatriotes de confession musulmane. Il ne se fait en aucun cas au détriment de la défense par le Maroc de la juste cause palestinienne, comme l’a affirmé Sa Majesté le Roi Mohammed VI lors de Son entretien avec le Président des Etats-Unis.
La tradition millénaire de coexistence pacifique et de tolérance du Maroc, sous la Commanderie des Croyants, a trouvé son illustration la plus puissante dans le refus de Feu Sa Majesté le Roi Mohammed V de livrer aux autorités de Vichy les citoyens marocains de confession juive. En reconnaissance de ce geste historique, Feu Sa Majesté le Roi Mohammed V a été nommé comme Juste parmi les Nations de Yad Vashem.
Sous les Hautes Orientations de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Maroc n’a eu de cesse de promouvoir et de valoriser son héritage hébraïque. C’est ainsi que la Constitution de 2011 reconnaît l’apport de l’affluent hébraïque à l’unité du Maroc.
Sur Hautes Instructions Royales, le Maroc a également engagé un programme de rénovation de ses synagogues et de ses cimetières juifs. L’engagement de Sa Majesté le Roi en faveur de la promotion du patrimoine hébraïque du Royaume s’est également matérialisé par la création du Musée de la Culture juive de Fès, en mai 2019.
La diaspora juive marocaine est la plus importante de tout le monde arabe. Ce sont un million de Juifs marocains qui vivent actuellement en Israël, et qui ont gardé des liens étroits avec leur pays d’origine.
Le rétablissement des relations diplomatiques entre le Maroc et Israël n’est donc qu’une étape naturelle de l’histoire millénaire qui unit les citoyens marocains de confession juive à leurs concitoyens musulmans. Le Maroc mettra à profit ses canaux diplomatiques avec l’Etat d’Israël pour faire avancer un règlement de la question palestinienne sur la base d’une solution à deux Etats, avec Al Qods-Est comme capitale.
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